Lorsque nous étions enfants, nous nous sentions souvent seuls, perdus, voire terrifiés dans ce monde qui nous échappait. Alors, nous nous inventions un monde, un royaume. Un espace que nous pouvions maîtriser. Un monde qui n'appartenait qu'à nous. Nous y trouvions réconfort et amour. Il avait suffi d'une heure sur les terres de notre inconscient pour attendre avec impatience l'arrivée de la nuit. Son obscurité nous guidant jusqu’au sommeil et à nos rêves, pouvant ainsi rejoindre ces terres lointaines et enchantées.
Et puis un jour, nous avons grandi. Nous avons pris de l'assurance et oublié le monde qui nous avait accueilli, oublié notre jeunesse et ses trésors, tirant un trait sur cette innocence qui nous avait bercée durant tant d'années.

C'était souvent ce monde qui nous avait formés, qui avait fait de nous des adultes. Il nous avait tout donné et nous avions tout prit. Un monde imaginaire était fait pour les enfants, pas pour les adultes, et plus le temps passé, plus ce qui nous avait émerveillé nous faisait peur, et la peur provoqué l'oublie et l'oublie détruisait ce monde. Toutefois, il suffisait d'un peu de volonté, d'un peu d'envie pour ce remémorer ce qui nous avait bercé durant tant d'années, mais des souvenirs d'enfants placé entre les mains d'un esprit adulte n'aboutissait plus aux rêves, mais à l'ambition. Une ambition destructrice qui poussa, il y a 35 ans, un groupe d'étudiant et de professeur à vouloir forcer la porte de ce monde qui n'était, à leurs yeux, accessible qu'au travers de l'inconscience humaine. Ils réussirent, en partie, à rejoindre ce monde, y lisant et y découvrant tout le potentiel exploitable, mais aussi, y découvrant des écrits, des rumeurs, leurs soufflants de plus grand pouvoir encore. Malheureusement, l'ambition et ce monde ne furent jamais compatible, et à leurs réveil, mainte de leurs camarades et professeurs étaient morts. Un drame qui poussa leurs université, la très prestigieuse Oxford, à fermer ses portes pour ne plus jamais les rouvrir.

Du moins c'était le cas jusqu'aux années 2000 où un homme, inconnu jusqu'ici, fit son entrée dans le monde en rachetant les locaux, mais surtout le nom de la prestigieuse université. Il la déplaça dès lors au coeur de Londres, avant de la réouvrir sous le même nom. Beaucoup jugèrent osé de garder ce nom à présent teinté par la mort, mais aujourd'hui, 13 ans après la réouverture de l'université, le drame qui c'était produit au sein de ses anciens locaux semblait à présent loin derrière elle. Toutefois, rien n'a été oublié, rien ne c'est effacé, et la quête d'un nouveau monde demeure le même but prioritaire pour l'université, mais nouvelle direction oblige, il semblerait que ces terres longtemps convoité soit plus que jamais en danger. En effet, l'homme qui rouvrit l'université, un certain Julian Rhodes, ne semble pas si idiot que ses prédécesseurs et ses actions au sein de sa propres université ne semble pas être aussi dénué de sens.

Ces terres que l'on appel Atlantis serait-elle sur le point de refaire surface ? Le danger serait-il si imminent ? Le pays qui nous aida à briser nos peurs saurait-il se relever alors que les nuages noirs de la conspiration le couvre peu-à-peu ? Pour le savoir, rejoignez-nous.

Lorsque nous étions enfants, nous nous sentions souvent seuls, perdus, voire terrifiés dans ce monde qui nous échappait. Alors, nous nous inventions un monde, un royaume. Un espace que nous pouvions maîtriser. Un monde qui n'appartenait qu'à nous. Mais ce monde est en danger, il s'affaiblit à mesure que notre monde devient plus sombre, à mesure que l'on perds notre innocence. Il y a 35 ans, un groupe d'étudiant voulu lever le voile sur ce monde, mais rien ne se passa comme prévu et l'université où ils évoluaient, Oxford, dut fermer suite aux dramatiques événements qui la frappèrent. Elle ne rouvrit qu'en 2000 au coeur de Londres, dans une nouvelle ville, mais sans perdre de vue son tragique passé. Le monde de notre enfance est plus que jamais en danger alors que les nouveaux dirigeant d'Oxford semble sur le point de mettre la main sur les secrets de ce monde.